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 ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦

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Ninben
Messages : 71
Age in RP : 16
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Localisation : F
Masha Nedjanov
Ninben
Masha Nedjanov
MessageSujet: ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦    ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦  Icon_minitimeDim 2 Nov - 22:35

♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦  Giphy
I used to have a Mind... I used to...

   NOM  → Nedjanov
     PRÉNOM  → Mariska
     SURNOM  → Masha
     NATIONALITÉ  → Russe.
     AGE  → 16
     SEXE  → Féminin
     ORIENTATION  → N'y fait plus attention.
     DISTRICT  → F
     GROUPE  → Ninben

   
BRANCHE DU PÉCHÉ  → Ma Branche du péché ... Vous voulez dire cette "malediction"? Je crois bien que j'ai dû l'utiliser une ou deux fois... Enfin, les fois dont je me souvient. Disons que j'ai du sang empoisonné, que je transforme en lame extrêmement tranchantes. J'crois qu'il y a une histoire de vibrations cheloues pour que mes "lames" tranchent de manière parfaite... Seulement, j'ai du mal à contrôler cette... caractéristique de mon corps. Pff, ces pouvoirs de merde. Si je n'avais jamais eu à vivre avec ça, je ne serai certainement pas ici.

   
YOU CAN PLAY ANY CHARACTER & YET BEING NOBODY JUST AS ONE MAY SMILE & SMILE & BE A VILLAIN

AUTRES  →Pour tout avouer, je n'ai aucun souvenir de ma vie avant ma venue dans cet endroit. J'me rappelais même pas de mon simple nom, c'est un de ces "Docteurs" qui me l'a révélé. Donc il est inutile de me demander comment je suis arrivée ici. Enfait il est juste inutile de me parler tout court, de toute façon j'envoi bouler chaque personne qui tente de m'adresser la parole...  



   Let's see the top of the iceberg...



Si j'avais la moindre idée de ce que j'étais avant, peut être bien que j'aurais pu vous fournir un dossier plus compact sur mon caractère. Le caractère ? La personnalité ? Cela se base sur l'histoire d'une vie, nos actes, nos discours et nos mouvements. Me concernant, je ne me souviens d'aucune vie avant celle-ci : La vie de Ninben dans un cirque bien glauque servant de prison. Une vie d'esclave peut être. Mais, qu'est-ce que j'en ai à faire. Je n'ai plus d'âme, ils me l'ont pris. J'en ai rien n'a foutre de tout ce qu'il peut m'arriver ici. Pff, j'suis rien, que dalle. Et même si j'arrive à m'échapper, quel individu je serai ? Si je ne suis qu'une esclave ici, que suis-je dehors ? Ni plus, ni moins.

Les Gardiens m'ont souvent dit que j'étais de nature impulsive, que je m'emporte facilement. Plus les jours s'écoulent, plus je le remarque, et moins ça me déplaît. Cela me donne une impression de contrôle sur mon esprit, malgré le fait que je ne sois qu'une marionnette au sein de cet enfer, me définir par un trait de caractère m'aide à trouver qui je peux être, ou qu'est-ce que j'étais avant de me retrouver sous l'emprise totale de cette harpie de blondasse qui nous sert de Directrice. Impulsive... Oui, il est vrai que cela me va bien. Après tout, allez demander à tous les prisonniers qui m'ont adressé la parole, je pense qu'ils se souviendront très bien ce que j'ai pu leur répondre. Et ce n'est certainement pas un discours de bienvenue. Non, plutôt une grande gueulante de haine, bien servie et bien chaude... Oh, un beau dialecte sorti tout droit du cœur. (Ou du sphincter...).

Je suis qu'une Marionnette bien obéissante, mais avec une énorme gueule. Quoi ? Tu veux parier ? Mec, t'as pas le quart de rage que j'ai. Peut être que mon rang de Ninben m'empêche de faire tout bon me semble, mais crois moi, ne serait-ce qu'un petit manque d'attention de la part de nos chers fils de chien de scientifiques, je pourrais très bien te faire regretter d'être né. Tes boules s'en rappellerais aussi.

Haineuse est aussi bien choisi pour me décrire. Je hais le monde d'une force inconsidérée, ou j'en ai rien à foutre donc je l'insulte à tout va, je le définit par toutes les cruautés qu'il peut être, toutes les injures qui le mette bien en valeur. Ma haine passe d'abord par mon regard, un regard tout d'abord de pitié, suivi de dégoût, et envie de colère. Ce qui traduit ma haine. Je suis juste dégoûtée par tous ces gens pitoyable qui ne font que pleurer sur leur putain de sors à la con. Merde, bougez-vous votre arrière train au lieu de me casser les couilles.

Concernant les insultes, les injures et les termes extra-familiers, et bien considérez cela comme mon principal vocabulaire. Non seulement d'être haineuse, impulsive, de nature "j'en ai rien à foutre", je suis dotée d'une extrême impolitesse. Ce qui expliquerait aussi le peu de camarades que j'ai dans ce cirque miteu. Et que les minimes personnes que j'ai croisés n'ont certainement plus d'âme à l'heure actuelle.

... And here's the submerged part.

Tout ce qui précède ce texte n'est qu'une partie dévoilée au monde entier. La seule partie que je connais réellement et que je ne tente pas de cacher, car c'est le seul côté de mon être que j'apprécie fortement et que je peux contrôler presque à ma guise.

Brisez cette glace, et vous verrez la réelle haine qui s'enfouit en moi, et qui est par conséquent incontrolable... du moins pas par ma personne. La Directrice s'en charge très bien à ma place.

La haine qui me ronge, la colère qui me dévore, ces deux horribles sentiments qui exercent sur mon esprit une emprise totale, doté d'une cruauté immense et d'un sang froid pur. Lorsque cette haine se déclenche, ce n'est pas que verbalement. Non, elle se déclenche physiquement. Il suffit que j'observe une belle gueule de con, ou qu'on m'adresse la parole ne serait-ce qu'un simple "bonjour" pour que je pète un câble. Seulement là, les conséquences ne sont plus mon problème, puisque je ne les contrôles pas... Mon sang bouillonne, brûle, mes cellules s'agitent, comme de l'acide coulant dans mes veines. Une simple coupure et tout est terminé, surtout pour mon adversaire. Mec, tu serais réduit face à ma rage, à ma haine. La grande gueule, c'est une chose. Mais la puissance physique de cette malédiction en est une autre... Et à un tout autre niveau. Enfin, j'ai encore l'intervention de cette harpie de Directrice pour m'en empêcher... Et puis, encore faut il maîtriser cette merde.

Je hais toutes ces créatures impies qui forment la nature humaine, aussi cruelle soit elle. Les profiteurs pète plus haut que leur cul pour abuser des plus généreux. Les moins confiant deviennent les plus horrible dictateurs, qui plus est, astro-con de cette planète. Oui je hais ce monde d'un force. Je hais les gardiens de cette prison, je hais mes camarades de prison, je hais les Undertakers, les Deadmens et cette putain de Directrice. Sans parler de ce déchet suprême de laboratoire à la con. Putain, et puis pourquoi j'me prend la tête avec ces gens là... pire que des grosses merdes, ce sont juste des rejetons qui ont manqué l'avortement.

Un jour, peut être ferais-je sauter cet endroit... Le problème est: je ne suis rien, qu'un grain de sable parmis tant d'autre. Je suis qu'une marionnette, qu'un esclave, qu'une poupée. Je sers de jouet, d'amuse-gueule dans cette prison. Et quoi que je fasse, je serais contrôlée. Autant que je reste ici, que je regarde les autres pourrir en même temps que ma gueule. Je suis jeune, je sais que cela sera long. Pfff, j'en ai rien n'à foutre. Je servirais cette connasse de Directrice car c'est tout ce que je suis maintenant, une servante. Rien de plus. Je ne suis plus rien, on m'a pris mon âme. And I don't give a fuck about it.






FOOLS LEARN FROM EXPERIENCES WHILE WISES LEARN FROM HISTORY
♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦  941082bloggif545a45e0dd127
THIS IS A STORY FULL OF HAPPINESS ▲

.Tell me about your Darkest Hour.

Mashanouchka... Une longue histoire la précède. Dommage qu'elle en est aucun souvenir. Enfin, dommage... C'est un vécu douleureusement beau, et doté d'un folie démente. Vous voulez savoir comment notre jeune têtue de Russe est arrivée dans cet enfer ? Oh, mais elle même ne le sais pas. Et qu'adviendrait-il de cette enfant si elle connaissait cela... Quelle déception la rongerait. Mais, laissez moi vous raconter ce vécu. Je ne suis qu'un observateur, qui a regardé Mariska vivre son enfer. Je l'ai regardé avec plaisir, et des petits pop-corn comme accompagnement. Lire son histoire ? Non, ce ne serait tellement pas drôle . Contentez-vous de la vivre, imprégnez-vous de son univers et savourez bien le goût de sa douleur.

2011

"NON ! CASSE-TOI ! Laisse ma fille tranquille, sinon j'vais t'éclater TA GUEULE sale fils de pute !" Une jeune femme d'allure maigrichonne s'enfuyait avec une enfant dans les bras, enchaînant les pas d'un rapidité hors du commun. L'adrénaline lui servait de force pour échapper au forces de l'ordre. Les gyrophares des véhicules de polices étaient les seules sources lumineuses de ces ruelles obscures. Ce qui semblait être une jeune famille fuyait une armée de Forces Spéciales. Paniquant pour son enfant, la jeune femme continuait de courrir, voyant défiler tout le décor du quartier de Shinjuku autour d'elle, avec une petite fille pleurant dans ses bras, tâchée de sang de la tête au pieds.

- 2000 - 2003 -

Here comes the bride.

Tout commence dans un squatt dans la banlieue de Moscou, en Russie. Le froid est impardonnable, glacial et ravage toute vie sur son passage. Le palais impérial est couvert de glace, et méconnaissable. Les clochards, mendiants et pauvres se battent entre eux pour un simple bout de pain ou une simple couverture. Et surtout, les prostitutées gagnent en pognon, le sexe réchauffant ces froides périodes. C'est l'appogée pour les déscendants de la Bratva, une célèbre maffia Russe réputée pour la prostitution et le traffic de stupéfiants, ainsi que pour leurs tueurs à gages doté de compétences impressionante et ravageante. Parmis les membres de cette mafia, Naüm Nedjanov, un des plus grands tueurs de l'époque, considéré comme le "Roi du milieu" décide de quitter l'organisation criminelle pour vivre avec sa nouvelle et belle compagne, une jeune et agréable lybienne, Jedia El Aahdi.

Dans ce magnifique pays doté d'un patriotisme qui dépasse tous les ententements, et grand adversaire de L'Amerique du Nord, nos deux amoureux, aussi fous l'un que l'autre, décidèrent de poursuivre leur vie à deux, loin de tout danger possible de nuir à leur amour. Il s'étaient rencontrés tout récement, et leur amour était déjà aussi fort qu'un vieux couple se connaissant depuis toujours. Il formait un agréable ménage, Naüm étant naturellement typé d'un charme nordique, aux traits stridents mais harmonieux révelant un nez incroyablement droit et fin. Jedia, quant à elle, possédait le charme oriental, le charme arabe. Une chevelure brune et bleutée telle l'aile d'un corbeau tombait au milieu de son dos. Elle était dotée d'une peau mat, brillante au soleil et impressionement douce. Ils s'étaient trouvés, et partageait une forte passion amoureuse.

Cependant, quitter les descendant de la Bratva n'est pas toléré, et n'est pas une chose facile... Même pour le Roi du milieu. Même pour une escapade amoureuse ? Oh, mais surtout pour une fuite de ce genre. Laisser l'organisation en plan pour une femme ? Pff, et puis quoi encore ? Oui, c'est une insulte. Voire même un acte de haute trahison. Suite à leur fuite, la version II de la Bratva n'hésita pas à lancer une tête à prix pour le couple. C'est alors qu'ils envisagèrent de se réfugier dans le quartier de Shinjuku, à Tokyo l'année suivante, pour 2004. Sur l'île Japonnaise, les activités maffieuse font dégâts... cela n'arrangerait certainement pas le couple. Et les bruits entre la Russie et le Japon courent très vite. Une vie à l'ombre, cachée de tout danger et une vie secrète attendait les deux jeunes gens, inséparables et follement amoureux l'un de l'autre.

Parcourant squatt, appartement, vieille batîsse abandonnée, le jeune couple fuyait la Bratva en attendant de se retrouver au Japon. Toujours avec un petit fix d'héroïne de temps en temps, une trace tous les matins, et un petit bédo avant le repas... Un peu de détente n'était pas de refus...  

Continuant leur gentille vie mouvementée, la petite graine était plantée, et un petit bébé les attendait. Vous vous doutez certainement qui cela peut être...

- 2003 -



... Then happiness come to shine...

"Regarde la! Elle est toute petite bordel!" s'extasiait le grand homme Russe devant le berceau de sa jeune née, Mariska "Masha" Nedjanov, pas plus grande qu'un caillou. Naüm, affichant un énorme sourire devant le visage de ce bébé, tenait une cigarette plus grande que la normale, qui dégageait une odeur forestière à côté de la jeune fille et dans tout l'appartement ravagés par les aiguilles, les bouteilles et les vieux repas datant de plus d'un mois sur la table basse...

- Elle a de ces yeux ! Ils sont énormes eux par contre... Jedia était épuisée par l'accouchement, et observait sa fille de son matelat posé par terre. Jedia n'avait pas pu donné naissance à Mariska dans un hôpital ou une clinique, Naüm étant toujours recherché par la C.I.A et par la Bratva II, il ne fallait courir aucun risque de se faire prendre...

- Ca, c'est de toi qu'elle les tient ! Dit le père en regardant sa jolie bien aimée d'un air totalement débile et ahuri, qui suivit d'un baiser langoureux qu'échangèrent les deux amoureux au milieu d'une fumée compacte transpercée par les minces rayons de soleil.

Dans leur joli nid d'amour, une petite fille venait de naître, une lumière dans cette sombre époque de fuite et de désespoir qui ne tient que part une valeur : l'amour. Naüm et Jedia avait réussi à arriver jusqu'au Japon et à survire malgré leur pauvreté et leurs conditions de vie particulière. Jedia avait développé une dépendance à l'héroïne, tandis que Naüm exerçait quelques services en tant que tueurs à gages dans la ville. Il était recherché par la C.I.A et les Forces Spéciales Japonaise et Russe. Que de sombres heures pour ce couple...  jusqu'à la venue de cette petite larve toute menue qu'est Mariska! Oh, leur fille bien aimée, leur lueur d'espoir. Leur nouvelle raison de vivre, de se battre. Ils feraient tout pour la protéger. Cependant, la garde de Mariska sera menacée par les services sociaux et infantiles qui se battent pour la sécurité des enfants. Mais l'amour que portent ses parents pour leur fille est imbattable et largement suffisant pour la gamine. Par conséquent, il faut toujours des vautours pour se mêler dans nos histoires... et pourquoi pas dans celle de Mariska, après tout ?

- 2007 -



...Shining and Shining everyday...



"Papa, Maman ! Regardez, c'est moi qui l'ait roulé toute seule !" Mashanouchka ('nouchka' est un sufixe utilisé pour définir les enfants en bas âge) tendait une magnifique feuille roulée de substances illicites entre ses petites mains roses et innocente. "Quelle vermine celle là..." Naüm et Jedia regardèrent leur fille d'un air outré puis éclatèrent de rire.
- Hé petit monstre, c'est pas pour les enfants ça! gronda doucement la mère tout en embrassant sa jolie petite fille.

Mariska continua de vivre dans un milieu gouverné par toutes sortes de drogues, sans que même cela puisse être douteux ni pour les parents, ni pour cette enfant. Dans leur petit appartement saccagé par la pluie et l'humidité, ils vivaient tous les trois tels une petite famille aimante. Mais malgré le surplus de substances illicites qui règne sur leur environnement, il n'est rien comparé à tout l'amour que Naüm et Jedia portent pour leur enfant. Masha est leur mine de diamants, leur Graal, leur précieuse petite enfant qu'ils protégeraient de toutes sortes de danger possible, même les plus fous, même les forces les plus divines. Personne ne pourrait séparer Mariska de sa famille, personne. Pourtant, les services sociaux ont essayés bien des fois... et ils perdurent toujours.

Dans leur famille bien particulière, Mariska réussit à se forger une personnalité hors du commun, et devint très forte d'esprit. Bien qu'elle assistait à des scènes qui était loin d'être pour son âge et son corps frêle, Mashanouchka n'était que plus forte et plus courageuse face à toutes ces dures épreuves auxquelles ses parents l'embarquaient. C'était une enfant joviale, qui n'avait peur de rien! Aucun danger ne l'effrayait, aucune terreur. Même la mort, qu'elle connaissait déjà très bien par le métier de son père (qu'il n'hésitait pas à dévoiler à sa petite famille), ne la faisait pas trembler. Ils ne voulaient jamais quitter leur enfant, et pour échapper aux services sociaux ainsi qu'à la Bratva toujours à leurs trousses, déménager de quartier en quartier et de village en village était nécessaire à leur protection.

Une vie mouvementée me diriez-vous pour une si jeune fille... Pourtant, croyez moi, que cette vie là aussi difficile soit-elle, était emplie d'amour pour cette famille inséparable.

- 2011 -


... Like stars far far away...
Mariska avait atteint ses 7 ans. Sept ans que ses parents l'aimait éperduement, sept ans qu'ils vivaient dans un environnement hors du commun, sept ans qu'ils ne laissaient personne entraver leur nid d'amour. Oh, sept belles années avec leur magnifique petite fille. Cela faisait presque trois ans et demi que la jeune famille n'avait pas à courrir dans tout les sens pour échapper à la Bratva ou à la C.I.A. Naüm avait trouvé du travail en tant que charpentier, après la grande explosion de 2010, des constructeurs étaient très demandés. Jedia quant à elle, travaillait dans un magasins d'antiquités.

Mariska allait à l'école comme tous les enfants de son âge, puisque cela faisait belle lurette que les menaces n'avaient pas montré leur bout du nez. Bien sûr, sa mère continuait d'être accro à l'héroïne et venait la chercher à l'école dans des états pire que l'ivresse, mais toujours débordant d'amour à la sortie des cours. Masha était alors souvent critiquée, par ses camarades de classe, voire ses professeurs: "De toute façon, mes parents c'est les meilleurs, et vous vous êtes tous des sales cons". C'est ce qu'elle répondait aux professeurs, même à ce jeune âge, elle savait déjà comment répondre aux critiques désagréables et péjoratives.

Mais... vous savez aussi bien que moi que le bonheur coûte cher... Et que qui dit longues années de prospérités dit malheurs à venir... Un nid d'amour ? Leurs problèmes résolus ? Huh, ce n'était qu'une oasis au milieu d'un désert... L'enfer arrive, ma mignone, l'enfer arrive...

... But stars has to die anyway...



Notre chère famille s'épanouissait dans leur petit nuage loin de tout danger. Naüm au travail, Jedia aimant sa fille par dessus tout, et Masha à l'école... Il ne voyait rien venir, aveuglé par leur bonheur. Leur vie heureuse et ennuyeuse comme ils aiment... Ce bonheur était éphémère... Et il s'estompa Le 29 décembre 2011. Ce jour maudit, ce jour haï.

Depuis la porte de leur appartement, Naüm et Jedia entendirent des foulées de pas violents arriver vers leur habitation. Le résonnement des armes et des boucliers ricochaient dans la cage d'escalier du batîment. Certains voisins avaient sortis leur têtes pour voir ce qui s'y trafiquait. Naüm et Jedia se regardèrent, paniqués, et comprirent sur le moment. Jedia était terrifiée, les yeux écarquillés, et les pupilles rétractées. Naüm quant à lui, voyait des gouttes tomber de son grand front, de la sueur causée par la peur d'être découvert:

- Mashanouchka ? Va avec Maman dans la salle de bain, tu veux ? Il est temps de prendre un bon bain chaud ! Regarde moi tes cheveux tout crade !

Dans un mouvement ample et rapide, Jedia pris sa magnifique fille à couettes dans ses bras, et accouru vers la salle d'eau tandis que la petite gamine râlait et soufflait exaspérée :

- Mais non ! J'veux pas ! C'est moi qui les ai lavés d'abord, mes cheveux à moi ! Et c'est quoi tout ce bruit dehors là ?  

- Discute pas Poupette, reprit Jedia, faut aller se doucher maintenant, hein ? Tu veux pas être toute sale, non ? Allez vient.

Naüm était transi par la peur, il savait ce qu'il l'attendait. Il le savait très bien, et depuis longtemps. Il savait que ce jour allait arriver. Ce jour était prédit, ce jour était maudit. Le Roi du Milieu sentait l'odeur des flics à des kilomètres autour de lui...

Un coup violent retentit sur la porte d'entrée, puis un autre, puis un troisème. Le batîment était déjà délabré, la porte ne teint pas le choc au quatrième coup et fut explosée par les seuls poings des officiers de police:

-  Monsieur Nedjanov Naüm, vous êtes en état d'arrestation pour votre coopération avec l'organisation criminelle Russe qu'est la Bratva ! L'ambassadeur de Russie nous a fait part de ses Forces Spéciales, vous êtes cernés ! MAINS SUR LA TÊTE, A PLAT VENTRE.

[Nedjanov Naüm, alias "l'Archange" dans le milieu de la Bratva, il est considéré comme le Roi du Milieu d'où ses fortes capacités au combat. Condamné à mort, pour le meurtre de la famille Robostieff tuée de sang froid par l'individu. Il est armé et dangereux. Toutes les voitures sont à son domicile, ainsi qu'un hélico survolant le quartier, aucun échappatoire est envisageable.. Attention, il est père de famille, et sa compagne peut être aussi dangereuse que lui d'où ses addictions aux stupéfiants. Cependant, faîtes gaffe à la gamine, il ne faut pas qu'elle soit bléssée. Terminé]

Jedia et Mariska, cachées dans la salle de bain, entendaient tout le boucan causé par les Forces de L'ordre. La jeune libyenne était terrifiée à l'idée que son homme puisse être abattu par les flics. Elle tremblait, ses dents claquaient et la peur l'envahissait. Serrant sa fille contre son cœur, elle pleurait et souriait paisiblement tout en regardant sa fille bien aimée, tentant tant bien que mal de la rassurer. Mariska était d'un calme impressionnant, mais ses yeux aussi globuleux soient-ils débordaient de larmes. Elle regarda sa mère et lui chuchota à l'oreille : "Papa c'est le plus fort. Papa c'est le plus fort." Jedia perça du regard sa fille, et sourit malgré ses pleurs... elle acquiesça. Mais ce qu'elle pensait était tout autre...: "Ma chérie... Papa est fort... Mais pas contre autant d'agents des forces spéciales... Naüm est fort mon ange, ce n'est juste pas équitable...."

De l'autre côté de l'appartement, une vingtaine d'agents avait réussi à encercler Naüm dans le salon. Cependant... notre cher Roi du Milieu ne se laisse pas abattre par 20 gigolo en costumes de flics. Ca non. C'est hors de question.

C'est alors que Naüm, pris d'une frénésie meurtrière et bestiale, ne pensant qu'à sa famille et à sa fille adorée, se précipita vers le tiroir de la table basse a une vitesse incroyable, saisissant une arme à feu (357 Magnum pour être précis). Il la dégaina et tira sur 4 agents en moins de 10 secondes. L'adrénaline était puissante, cela faisait longtemps que Naüm n'avait pas vécu un tel combat... pour tout dire, cela lui manquait, cette nostalgie du sang, la peur mêlée à la force et à l'envie de vivre. Oh oui, cela faisait un bout de temps que notre Roi du Milieu n'avait pas pratiqué cet art.

Tous les coups de feux étaient partis, et Naüm n'était pas protégé. Il fut blessé à la jambe puis au bras, continuant du tirer sur un septième agent avec ses dernières balles. Une énergie incroyable le maintenait debout et l'obligeait à survire pour sa petite famille. Il débordait de rage, malgré ses blessure et le nombre d'officiers s'attaquant à lui, sa force était intraitable. Pourtant, il se savait perdu depuis le moment où les flics avait défoncé leur porte. Une raison pour se laisser vaincre sans bouger ? Non, certainement pas. Naüm se battrait jusqu'au bout, pour ne jamais décevoir sa fille bien aimée.

Soudain, après une grosse demi-heure de tirs infernaux, tous les coups de feux avaient cessé. Un silence s'était abattu sur tout le bâtiment, et dans tout l'appartement. Jedia avait compris... son grand amour venait de se faire abattre part des chiens de flics à la con. Serrant sa fille contre son cœur, toujours dans la salle de bain, elle leva la tête vers le plafond humide et craquelé, lentement, les yeux toujours grand ouvert et le visage décomposé. Et elle poussa un hurlement tout droit sorti de l'âme, pris sa fille dans ses bras, défonça la porte de la Salle de bain et accouru vers la dépouille de son homme. Elle s'écroula au sol et pleura toutes les larmes de son corps.

Quand à Mariska...Elle qui se tenait debout pieds nus, devant cette scène abominable, pataugeant dans le sang encore chaud de son père, son papa, son héros qui venait de trépasser, débordait d'une rage ahurissante. Elle restait immobile, tandis que les flics essayait d'attraper sa mère pour l'éloigner du corps de Naüm. Les agents gueulaient mais elle ne les écoutait pas. Tout ce qu'elle fixait, c'était son père étendu au sol, la main sur le cœur, l'autre tenant son arme.

C'est alors qu'elle se tournait lentement vers sa mère qui se faisait maîtriser par les Forces Spéciale. Les mêmes forces qui ont abattu son père. Ces putains de forces de merde. Mariska se reprit, et, sous l'emprise de la colère et de la haine, se jeta sur les policiers qui attaquaient sa mère. Il était hors de question qu'il lui touche un seul cheveux.

Elle sauta de toutes ses forces du haut de ses petites jambes pour atteindre les policiers, mais un autre officier eu le temps de couper la "mini-attaque" de cette enfant innocente en la bloquant d'un coup de poing. [LA GAMINE NE DOIT PAS ÊTRE BLESSEE]. Sa bouche fut blessée par la frappe du policier, et sa lèvre inférieure saignait.

Le sang coulait à flots, il était chaud et bougeait dans tous les sens. Il bouillonnait, et tentait de créer une sorte de forme, il était "conscient".  Soudain, des sortes de minis lames coupantes jaillirent de sa coupure et visèrent les policiers, qui éclatèrent aux visages de ces derniers. Mariska ne contrôlait plus rien, sa haine l'entraînait dans une colère et une frénésie démente. Lorsqu'elle toussait, plus de la moitié des agents mourrait ravagé pas ces explosions sanguines causée par la coupure. Et elle continuait d'éradiquer tous les agents des Forces de L'ordre pour protéger sa mère et venger son père.

Jedia était muette de surprise, bouche bée, immobile et son regard était bloqué sur sa petite fille innocente en train de tuer ces agents. Reprenant ses esprits, et ne voulant certainement pas que Masha subisse le même sort que son amant, Jedia accouru vers Mariska, la pris dans ses bras et sauta par la fenêtre du salon, pour retomber sur une benne à ordure, les sacs de déchets amortissant la chute.

Les Forces Spéciales étaient toutes retournées, une bonne partie de leurs agents furent tués par une gamine de 7 ans. Une gamine de sept ans. "QU'EST-CE QUE VOUS FOUTEZ ?! NE RESTEZ PAS PLANTES LA, ENVOYEZ DES VÉHICULES, HÉLICOS, TOUT CE QU'ON PEUT ENVOYER POUR RECUPER LA GAMINE. C'EST UNE ABOMINATION"

Tandis que les forces spéciales poursuivaient le reste de la petite famille Nedjanov, Jedia courrait et courrait pour échapper à ces agent. Jusqu'au moment ou un agent parvenu à les rattraper et tenta de récupérer Mariska de toutes ses forces. Mais la puissance d'une mère est incomparable face à un simple et stupide agent.

... Like burning a whole world to decay...



"NON ! CASSE-TOI ! Laisse ma fille tranquille, sinon j'vais t'éclater TA GUEULE sale fils de pute !" Une jeune femme d'allure maigrichonne s'enfuyait avec une enfant dans les bras, enchaînant les pas d'une rapidité hors du commun. L'adrénaline lui servait de force pour échapper au forces de l'ordre. Les gyrophares des véhicules de polices étaient les seules sources lumineuses de ses ruelles obscures. Ce qui semblait être une jeune famille fuyait une armée de Forces Spéciales. Paniquant pour son enfant, la jeune femme continuait de courir, voyant défiler tout le décor du quartier de Shinjuku autour d'elle, avec une petite fille pleurant dans ses bras, tâchée de sang de la tête au pieds.

Mariska saignait encore et toujours. Dans sa course, Jedia fut stoppée par un homme qui lui proposa son aide. Voyant une femme affichant un visage de détraquée, portant une gamine qui saigne, quoi de plus humain ?

Cependant, Masha, immobile et se vidant de son sang fit jaillir une grande lame qui se dirigea vers cet homme, et le trancha en deux partie distincte. Les organes était apparant, les deux parties était d'une symétrie impressionante. Le sang de l'homme avait recouvert la mère en fuite et sa fille.

"Je te protégerais de tout maman... de tout"

Jedia continuait de courrir à vive allure, mais les hélicoptères la rattrapèrent très vite... Les flics devaient attraper la jeune enfant coute que coute. Peu importe le reste, il fallait l'enfant. Sa mère ? Mais il n'en avait strictement rien n'a foutre. Elle empêchait d'ailleurs les chose d'avancer, elle empêchait la capture de Mariska.

Comme des traîtres, à 50 mètres de hauteur, séparant les deux seules membre de la famille Nedjanov de l'hélicoptère de police, un sniper se mit en position de tir. La lybienne bougeait tellement vite, qu'aussi bon soit-il, le tireur eu du mal a viser sa cible. Mais le coup parti, et à une vitesse impressionante, atteignit finalement la jeune maman. El Aahdi s'écroula, toujours serrant sa fille dans ses bras. Jamais elle ne la lâcha. Mariska ce jour là, fut détruite et anéantie. Plus rien ne résonnait dans sa tête, elle n'entendait plus rien. Le regard vide, elle se laissait se faire arracher des bras de sa mère. Le choc était trop grand, trop lourd à supporter. Même pour une fille aussi forte que Masha, se battre jusqu'au bout en était impossible.

2017


When I was just a little baby girl, all my stars burned and passed away.
Then I swore to them I'll join the sky one day.
Therefore, I had to wait everyday,
To the morning I would fly far far away.




[Prison des Mineurs : Okinawa]

Mariska "Masha" Nedjanov. Condamnée à vivre en camp de redressement pour mineur jusqu'à sa majorité, ensuite condamnée à mort après l'avoir atteinte. Elle était isolée dans les plus haute cellule du batîment, étant donné cette "malediction" inexpliquée. Cela faisait plus de 6 ans que notre jeune mi lybienne, mi russe n'avait pas adressé un seul mot à qui que ce soit. Même lorsqu'elle endurait les pires souffrances causée par les expériences effectuées sur la gamine en laboratoire, elle ne criait pas.

" Tu es au courant qu'une nouvelle prison pour les gens de ton espèces s'apprête à ouvrir ses portes ? J'espère que tu es contente, tu verras d'autres monstres dans ton genre. Et nous seront bien content d'être débarassé de toi."

- 2020 -

Deadly Circus. Prison basée sur le lieu de l'explosion ravageante de 2010, construite sous le thème du spectacle et des arts du cirque. "C'est quoi c'te pure merde..." pensait la jeune délinquante à son arrivée. En voyant tout ces artifices de la mince fenêtre du fourgon blindé, elle pouvait en déduire que cet endroit était l'un des plus tarés de l'univers. Une prison ? Avec chapiteau, guirlande de lumières, grandes roues et autres fantaisies de ce genre ? Il faut être tordu pour créer un tel endroit.

Les chaînes pendantes, les maillons se cognant échappant un tintement répétitif, la jeune adolescente allant sur ses 17 ans marchait en observant les alentours de ses grands yeux ronds. Elle suivait les autres détenus. Les gardiens de la prison les avaient classé par rang "d'admission". Mariska Nedjanov était directement assignée au district F. Peu importe ce qui lui attendait, elle s'en fichait éperdument. Elle avait perdu ses parents depuis presque 10 ans. Rien d'autre ne l'importait que de les rejoindre. Il ne restait plus que deux ans avant de tirer cette satisfaction : sa sentence allait être prononcée. La tant voulue et attendue condamnation à mort.

Marchant dans les couloirs de Deadly Circus, Mariska suivait le troupeau de détenus découvrant leurs toutes nouvelles cellules. La jeune adolescente s'attendait elle aussi à rejoindre la sienne, cependant, tout un autre programme était prévu pour elle...

Mariska se retrouvait seule avec les deux gardiens, n'ayant toujours pas rejoint sa cage. Ses yeux grand ouverts, elle observa du côté de ses "baby-sitters" qui venaient de répondre à un appel. Sûrement un appel de l'administration. "Encore un problème avec les cellules... bordel et l'organisation bande de gros cons ?" pensait la détenue.

- Mmh... Ah bon ? Si tôt seulement ... Bon, ok. C'est comme si c'était fait. Un des gardiens s'était retourné vers Mariska et ricana. Ma mignone, les ordres sont les ordres.

Masha n'y comprenait rien. Et s'en foutait. Tout à coup, les gardiens saisirent la jeune fille par les bras, bloquant de tout mouvement possible. Mariska se débattait, elle sentait que cela cachait quelque chose de malsain, rien qu'à son arrivée. Il suffit de voir la tête du bâtiment pour se dire qu'un truc ne tourne par rond ici. Un gardien, voulant maîtriser la jeune fille et l'empêcher de gesticuler, lui cassa le bras et lui injecta un somnifère tout droit dans la fesse gauche...

"Je vous rejoindrais. Je le promet. Attendez moi, il ne reste que quelques temps. Je vous aime, ne m'en voulez pas. Il n'y a qu'à vous que je ne ferai aucun mal"

The day will never come. The luminaries will nerver wait.
All the stars will be forgotten, I'll never join them.
And I will never see the sky again.

[Salle de Réveil, Laboratoire - Deadly Circus]

- Il semblerait qu'une partie de la mémoire ait éte touchée. Ses souvenirs sont peut être endommagés, mais l'opération est un succès! Elle est sous votre contrôle maintenant. Son impulsivité sera d'autant plus maîtrisée par vous et vous seule. Il n'y a que la partie souvenir qui est déffectueuse. Je suis sûr qu'elle ne se rappelera même pas de son propre nom. Oh, et puis, l'essentiel est d'avoir le contrôle, n'est-ce pas ? La mémoire est insignifiante, pas vrai, chère Directrice ?




   PSEUDO ▲ Masha Nedjanov
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Queen of Hell
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MessageSujet: Re: ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦    ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦  Icon_minitimeLun 3 Nov - 18:04

RE-BIENVENUE !

Bon. Tu sais que tu as trois semaines à faire, alors au boulot ! /pan/
Fais nous une fiche aussi belle que l'ancienne, luv.
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MessageSujet: Re: ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦    ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦  Icon_minitimeMer 5 Nov - 14:16

    Bienvenue ici ♥ !
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Ninben
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MessageSujet: Re: ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦    ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦  Icon_minitimeMer 5 Nov - 16:05

Merci à vous ! Perso, j'ai fini ma fiche ! J'suis prête au jugement les enfants ! ♥
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Queen of Hell
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MessageSujet: Re: ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦    ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦  Icon_minitimeMer 5 Nov - 17:19







Le Jugement Divin !




Validation

Félicitation à toi, Masha ! Tu es maintenant validé(e), et nous sommes heureux de te compter parmi nous. Alors, avant toute chose, sache que maintenant tu dois aller recenser ton avatar, ainsi que ta branche du péché (si tu es un Deadman ou un Ninben), pour que personne ne te les piquent ! Mais aussi d'aller générer ton dossier du prisonnier, qui se trouve dans ton profil. Tu peux aussi aller faire un petit tour à la boutique Wonderland si l'envie te dit !

Bien ! Maintenant passons à notre jugement :

Alors. Que dire. Ta première fiche (totalement différente de celle-ci) était déjà super. Mais alors là. J'ADORE ! Elle est supraa super ; quantité & qualité. Masha est un personnage renversant, de par son caractère & de son histoire. Les parents comme ça existent vraiment (enfin, du côté de la drogue etc en tout cas), ce qui en est encore plus touchant. J'ai vraiment hâte de voir c'que ce personnage va donner en RP !

Le staff de Deadly Circus est donc heureux de te valider dans ses rangs, et tu obtiens 40 Cast Points !

Encore bravo à toi, en espérant que tu te plaises parmi nous, et bon jeu ♥
FICHE © SUNHAE DE LIBRE GRAPH'
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Ninben
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MessageSujet: Re: ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦    ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦  Icon_minitimeMer 5 Nov - 17:22

Waouh ! Si j'm'y attendais ! (En vrai dans ma tête ça fait "KYYYAAAAAAA" mais j'vais pas l'écrire en réponse de ce joli jugement...) Merci beaucoup ! Ravie d'être parmi vous dans cette prison ultra tordue! MUAHAHAH.
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MessageSujet: Re: ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦    ♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦  Icon_minitime

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♦ They took my soul off. But I don't give a fuck, because I'm only a pupet. ♦

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